Haku Psychose
Passionnée par le Japon depuis son enfance, Haku décide très rapidement de mélanger sa passion à son métier de tatoueuse.
Vocation qu’elle a depuis ses 14 ans, elle commence à apprendre l’art du tatouage dès sa majorité.
À la fin de son apprentissage, celle-ci s’envole pour une année complète au Japon, où elle y tatouera, et apprendra à peaufiner son art et ses spécialités: le tatouage inspiré de la pop culture (otattoo) et les inspirations traditionnelles Japonaises.
A l’issue de cette année, elle reviendra en France, à Montpellier, où elle montera son propre salon : Akiba’ink. Le succès fut au rendez-vous durant plus de 6 années.
Akiba’ink a fermé ses portes mais pour permettre à Haku de voguer, de nouveau, vers le pays du soleil levant.